La Rue de la Peur

C'est la boîte de nuit des fantômes. Nous sont tous serrés dans cette cave d'un habitant de la rue du four . Une boule à facette, des lasers et une musique très forte, font de cette cave un lieu de danse pour les spectateurs. Autour d'eux les fantômes sont partout. Sur cette photographie, l'on peut voir les fantômes en noir, fait à partir de sac poubelle gonflé pour en faire des ballons. En fond sonore : Stupéflip, A bas la hiérarchie.

Un Travail d'émotion

C'est la journée Internationale du Droit des Femmes, et je suis invité à créer une installation à l'Hotel Mercure Centre de Montpellier.

Je travaille alors sur le travail émotionnel, cf article de Rose Hackman.

Les visiteurEs prenait la carte d'accès d'une chambre et y découvraient des textes, des objets, des messages, des invitations au repos, des questionnements. Un temps suspendu dans son intimité, où l'on se recentre.

Le Lieu qui n'existe pas

Une installation en plusieurs phases, d'abord informative, puis conceptuelle et enfin concrète.

Les spectateurs sont amenés à prendre connaissance de nombreux articles de l'ONU, et sont sensibilisé à la notion d'épuisement des ressources.

Ensuite, il deviennent miniatures et s'incarnent dans un avatar (playmobil). Pour finir, ils peuvent créer le monde idéal pour eux en construisant des communautés, des villages...

La Nuit d'Ubu

Une performance/spectacle que j'ai créée pour le festival TEL.

Ce sont deux frère et soeur, ils parlent de leur grand-mère et des fêtes de famille.

Mais, dès que la nuit arrivent ils se transforment en Père Ubu, Mère Ubu, Venceslas et autres personnages d'Alfred Jarry.

Le travail sur la lumière noire a posé l'idée d'un spectacle mêlant deux trames narrative qui se croisent.

La Hache de guerre

Il est temps de déterrer la hache de guerre et de repartir en lutte.

L'acteur joue à la fois un employé de bureau et ses songes. Ils s'incarnent à travers plusieurs poèmes français.

Un travail principalement graphique avec l'utilisation d'un rétroprojecteur pour jouer entre image et corps.

Ici, le loup est tué, c'est le poème de la Mort du Loup d'ALlfred de Vigny.

La Rue de la Peur

Adèle, la terrible sorcière, s'est écrasé avec son balais au milieu de la place du village. Elle tentait de jeter un sort, mais dans sa chute, les pages de son grimoire se sont envolées et disséminés dans les rues voisines.

Elle appellent les enfants à s'emparer des pages égarées. Ce qu'ils ne savent pas, c'est qu'Adèle veut transformer tous les habitants en Zombies serviles. Heureusement, le clan des sorcières blanches aideront les enfants, à moins que...

± 4 Fables

Le Cerf se voyant dans l'eau, cela paraît simple quand l'on voit cette image, mais j'ai mis longtemps avant de voir que les deux F pouvaient former les cornes d'un cerf.

Avec ce spectacle j'ai exploré un champ imaginaire sans fin, je suis un amoureux des Fables, elles m'ont guidé, m'ont ouvert de nouvelles voies esthétiques et surtout m'ont permis de rencontrer beaucoup de spectateurs. Ici, c'est à Lieuran-Cabrières dans l'Hérault, quel beau moment.

Buffles

Une création que j'ai faite avec la Troupe En Liberté (amateurs) au sein du TEL.

Une famille de buffles tient une blanchisserie dans un quartier plutôt défavorisé.

Nous plongeons dans l'histoire de cette famille, à travers les yeux des enfants seuls représentants de la famille maintenant que les parents ne sont plus là.

Une pièce sur la famille, la nostalgie et le pardon.